La forêt tout là haut
C’était un de ces matins où il dévalait la route à toute vitesse à cheval sur son vélo. Sur son vélo rouge qui grinçait à chaque virage et dont on pouvait entendre le claquement de son drapeau installé à l’arrière. Chaque petites bosses faisait sursauté les oreilles de sa peluche installée à l’arrière de son sac à dos.
Cela lui rappelait les été indiens sur les quais du port désertés par les touristes.
Certains champs était vêtu de ces rouleaux de paille, et il y avait aussi cette tasse géante installée au milieu. Elle était encore toute fumante, à attendre.
Il avait tant hâte. Hâte de retrouver ces amis, dans la maison ; Celle installée là, tout là haut, dans les nuages. Il devait tout d’abord atteindre les montagnes.
La forêt tout là haut
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