La forêt tout là haut, illustration par Guillaume Marical

La forêt tout là haut

C’était un de ces matins où il dévalait la route à toute vitesse à cheval sur son vélo. Sur son vélo rouge qui grinçait à chaque virage et dont on pouvait entendre le claquement de son drapeau installé à l’arrière. Chaque petites bosses faisait sursauté les oreilles de sa peluche installée à l’arrière de son sac à dos.

Cela lui rappelait les été indiens sur les quais du port désertés par les touristes.

Certains champs était vêtu de ces rouleaux de paille, et il y avait aussi cette tasse géante installée au milieu. Elle était encore toute fumante, à attendre.

Il avait tant hâte. Hâte de retrouver ces amis, dans la maison ; Celle installée là, tout là haut, dans les nuages. Il devait tout d’abord atteindre les montagnes.

La forêt tout là haut

Leave a comment

Remonter